Tradition Vivante n.8, Avril-Juin 1986 ; n.7, Janv-Mars, 1988
La Macina "Vene il sabado e vene il venere..." Le premier disque de La Macina.
"Ce groupe de quatre chanteurs/musiciens collecte et interpète les chants populaires de la région des Marches dans l'est de l'Italie [...] Il este consacré aux chansons de la région autour de la ville d'Ancòne. Parfois tendre et triste, mais plus souvent gaie et déchainée, La Macina présente ici un programme varié de ballades, chants à danser, chants rituels ou comiques et chants de travail. L'istrumentation est simple - percussions, guitare et accordéon chromatique - et la force de ce groupe réside principalment dans le voix et dans le dynamisme de ses membres. Ils chantent naturellement sans artificie, on dirail méme qu'ils "gueulent" sur les chants à danser, le saltarello par exemple ou "La Pasquella", un joyeux chant de quète. Mais la Macina a son còté calme: "Monaca a forza" un beau chant narratif accompagnè avec gout à l'accordèon et la magnifique "Il Marito Giustiziere", una vielle ballade dotèe d'une mèlodie exceptionelle. L'humour ne manque pas... La valse "Risaltato" est accompagnèe d'un monologue à cent à l'heure - une technique traditionelle? N'importe, leffet est comique mème si on ne comprend pas un mot. La pochette est belle et le disque est accompagné d'un livret illustré de 12 pages avec notes et tous le textes. Du bon travail
Tradition Vivante, n. 8, Avril- Jun, 1986
La Macina "Io me ne vojo andà pel mondo sperso..."
"Un des aspect les plus intéressants aujourd'hui dans la discographie italienne, est qu'elle nous offre un échntilonnage de groupes, fort diversitiè. Notre voyage italien se poursuit donc dans ce numéro en compagnie d'un groupe nous vient d'une région centrale d'Italie "Les Marches" [...] [...] Les 5 musiciens de la Macina nous présentent un répertoire bien différent des divers groupes italiens [... ] Ici le chant est le point fort du gruepe, avec de belles chansons comme notamment "Cecilia" [... ] ou ancore "Il falso pellegrino" - Une vieille ballade du XVI siecle, ainsi que la magnifique sérenade - Serenata - à la saveur mystereuse accenluée par le jeu délicat de l'accordéon(iste). Mais La Macina nous propose également des danses endiablées - Saltarello - (danses typiques de l'Italie Centrale et des "Marches" en particulier) au rythme de l'accordéon, des guitares battentes, des cembalo et timpani (percussions). Par exemple le morceau qui porte le titre de l'album est constitué par una suite de couplets chantés sur le rythme d'une "saltarello". [...] [...] Alors, si vous cannaissez la Ciapa Rusa, Tesi etc. écoutez la Macina, car ce groupe mérite notre respect par son travail honnéte, authentique et enrichissant de prèservations de la musique traditionelle des "Marches ". Et puis le disque est bien présenté avec son livret riche d'informations et également une introdution de Giovanna Marini. Tradition Vivante, n. 7, 1988
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